• Ma bulle d'air...

    Sur ce site, jamais je n'aurais pu imaginer !

    "Retomber amoureuse...." !!!

    Tout cet amour qui a débordé depuis presque un an... c'est fou !!

    Je suis passée du stade d'une photo d'un homme nu, de la visualité de ses fesses à une histoire des plus Romantiques.
    Cela fait aujourd'hui "un An" que j'ai débuté ce blog, sans vraiment savoir où j'allais.

    Mon inspiration ne s'est plus arrêtée et j'ai poursuivi mon chemin, mon aventure...

    Hier, par contre, je me suis figée un instant, j'ai  repris mon souffle et je suis retournée à mon départ, vers mes tout premiers posts...
    Et là, j'ai pu constater qu'une progression des plus extraordinaires s'était passée...

    Que s'est-il donc réellement passé ???



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  • Jamais je n'aurais cru que derrière cette fenêtre,

    Un homme aurait pu encore m'aimer...

    Moi femme sensible et si fragilisée.

    Tant de choses se sont passée en un an ....

    Avec toi, je suis sur un petit nuage,

    Tu me fais rêver, vibrer.

    Ton amour me donne des ailes

    Tout ces mots pour te dire tout simplement:

     

                         "Je t'Aime."

     

    Post spécial "anniversaire" demain 5 novembre.

     

     

     

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  • "Cela fait maintenant Huit jours que,

    dans cet hôtel " l'Auberge du ciel",

    Ils se sont laissés aller à leurs fantasmes,

    à leurs envies, à leurs Amours"...

     

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  • Sur ces draps frais, il la déshabilla sans plus attendre, de manière assez directe ; pas de chichis, pulls, bottes, pantalons, sous-vêtements voletaient en tous sens... dans tous les coins... Enfin nus corps contre corps, ils pouvaient sentir leur chaleur se dégager, un feu intense qui leur semblait dévolu.

    « Je t'aime... », se répètent-ils dans la tendresse de leurs baisers, comme s'ils n'y croyaient plus. Leurs membres se mêlent, leurs parfums se diluent l'un dans l'autre.
    Le désir les traverse, Il fait déjà noir. Toute la nuit est à eux, rien que pour eux.


    Leurs lèvres s'effleuraient en n'en plus finir, leurs mains se baladaient de-ci de-là... Mille et une caresses s'emparaient de toute leur anatomie.
    Rien ne fut épargné.
    Il lui câlina le visage, les fesses, les seins, le sexe,... elle était folle d'attente et sa peau se perdait dans l'immensité de ces effleurements. Pas de tourment, rien que du laisser-aller, du lâchez-prise, de la détente...

    Une caresse plus intime du bout des doigts la fait frémir et gémir discrètement. Elle s'abandonne, écarte les cuisses. Il dépose sa paume comme une coquille d'huître sur la rainure de son sexe.

    C'est fou, c'est trop beau, c'est trop bon... c'est à peine s'ils y croient !
    Comme un rêve irréaliste, inimaginable, et pourtant !!!

    L'heure avançait à grands pas tandis qu'ils se délectaient d'un amour presque parfait.
    Ils avaient faim d'autre chose encore, ils se rhabillèrent et partirent à la recherche d'un petit bistro afin d'y boire un petit verre, pensez-vous ! ils avaient soif, mais cette fois une soif réelle et non plus d'amour.
    Ensuite, petite tajine vite fait bien fait (elle au poisson, lui au mouton), dans un snack marocain juste à côté de l'hôtel... pas trop loin car si l'envie les reprenait, eh bien ne pousser qu'une porte, demander la clé, monter le premier étage, s'escrimer sur la serrure et là ... ils pourraient continuer leur aventure d'amants amoureux.
    Quelle nuit d'ébats !
    Et ce jusqu'au milieu de la nuit... ce qu'ils firent... et quelle nuit d'ébats !!!

    Exténués, vers une heure trente, ils tombèrent dans un profond sommeil mais voilà qu'au petit matin, elle fut envahie de cauchemars : elle ne savait plus très bien où elle était, certainement angoissée par ces changements brusques, perturbée peut-être d'avoir enfin osé faire le pas... étonnée d'être allée si loin...
    Lui, de son côté, essayait tranquillement de la rassurer en chuchotant des mots d'amour dans le creux de l'oreille, la prenait dans ses bras à plusieurs reprises, la consolant du mieux qu'il pouvait.

    Elle se sentait protégée, rassurée, en sécurité.



    ... à suivre

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  • Sur ce lit, ils étaient comme deux bêtes en manque...
        
                              "D'Amour".

    Pensez-vous !! Depuis le matin, 8h 45, ensemble mais pas vraiment seuls. Car, dans cette gare de départ, endroit où ils croyaient démarrer l'aventure, elle y rencontrait encore plusieurs personnes qui la connaissaient :
    - Tiens, bonjour ! Tu vas bien ? Tu vas aussi à Bruxelles ? Est-ce bien le bon quai ??...


    Qu'est-ce qu'elle en savait, "elle " qui n'avait plus pris le train depuis tant d'années !!??
    Tout ce qu'elle désirait, c'était être tranquille, avec "lui et lui seul"...

    Monter dans ce train inconnu en cherchant un wagon où elle n'aurait pas à tenir conversation avec d'autres.
    Ce n'est pas évident quand on vit depuis toujours dans le coin.

    Les voilà enfin partis.

    (Il connaissait son angoisse à "elle", il lui commentait les paysages qui défilaient, parlait de tout et de rien. Il la sentait tendue mais prête pour l'aventure)

    Puis, imaginez : arrivés à la gare du Midi, du monde partout... ça grouillait de tous côtés, à peine le temps de se voler un baiser sans être bousculés.
    Ils partirent à la recherche d'un hôtel. Ceci dit, pour une nuit, le confort 4 étoiles, ils s'en foutaient. Ce qui leur importait, c'était avoir un refuge pour la nuit.
    « Leur première nuit », ensemble, à l'aise, sans heure inévitable de retour.

    Ils trouvèrent assez rapidement, juste devant la gare, pourquoi aller plus loin ?

    ("L'auberge du ciel", un asile au nom prédestiné.)

    De là, un peu rassurés, ils partirent visiter les alentours.

    (Les bistrots en face de la gare ont été rasés, faisant place à des chantiers... Plus loin, les cafés ont été abandonnés, ou sont fermés,  ou encore sont devenus des "salons de thé" marocains. Boire un apéritif devient une quête frustrante.) 

    Seulement, « elle » avait un rendez-vous avec une tante : « l'alibi de leur aventure », contraints de s'y rendre.
    Donc, impossible d'être totalement seuls sur le champ...

    (En tram, à mi chemin, ils s'arrêtent sur une place où se tient aujourd'hui un marché, et dénichent enfin un bistrot où prendre un, deux apéro's. Puis, ils mangent un bout dans un snack turc.) 

    (La tante est sympathique et sera muette comme une carpe. Elle les entraine dans un centre commercial pour prendre un verre où travaille sa fille. L'attente de se retrouver seuls, par contre, commence à se faire longue.)

    Leur liberté, ils l'eurent enfin à 17 heures.
    En hâte, ils rejoignirent l'hôtel.

    (En route, ils transitent de bus à tram, devant l'endroit où il travaille. Il lui a ainsi montré le banc public, dans le petit parc d'à-côté, d'où ils se téléphonent si souvent en toute discrétion.)

    Ils avaient tant besoin de se retrouver seul à seul pour un moment de tendresse, de câlins passionnés.
    Ils ne se tenaient plus, ils ne se retenaient plus.
    Ils pouvaient enfin s'abandonner à leur amour.



    ... à suivre.


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