• (Illustration extrait d'une encyclopédie) 

     


    Comme,

    il devait être gai ce temps où dans les blés,…

    s'est-elle dite ? 

    Et pourquoi n’irait-elle pas, avec « lui » y faire des pirouettes dans l’herbe fraîche ?

    Ce qu’ils firent.

     

    Elle s’est invitée à un rendez-vous galant, pique nique, petite bouteille de vin rouge, sur une couverture à même le sol.
    Mais de nos jours, pas facile de trouver un endroit tranquille du regard des gens !!

     

    Après maintes et maintes détours dans la campagne, prenant des allées ici et là, qu’elle ne fut pas sa surprise de toujours y trouvé au fin fond des maisons ou fermes.
    C’est d’une complication de nos jours, on bâtit dans tous les recoins !! 

     

    Mais elle en avait tellement envie de ce petit bol d’air tranquille qu’enfin, elle trouva.

     

    «  Petite couverture installée, ils se sont assis et après avoir mangé et bu, tranquillement se sont couchés. Qu’elle bonheur seul parmi la nature. Tout doucement sous la chaleur torride du jour, leur tension monta. Il commença à lui retirer sa petite culotte, pour une fois elle portait une jupette. (Petite provocation de sa part)
    Chaleur montante, elle retira le haut.
    Lui de son front, coulaient des perles de sueur, il n’en pouvait plus, il l’a prise et commença à la taquiner de haut en bas. Son souffle était de plus en plus fort, oui vraiment elle avait envie qu’il la fasse jouir, elle avait envie de se laisser à crier dans la nature, là, où personne ne pouvait entendre.
    Le soleil tapant si fort, l’ambiance fut doublement renforcée, et le petit vin bu avant, wouawww… elle se sentait voler, pleine d’allégresse.
    Elle pourra s’en vanter c’est la première fois qu’un homme lui a fait subir ses sévices sexuels ailleurs que sur un lit.
    Non, elle ne s’en plaint, elle est prête à recommencer. »

     


    Que le temps, les années qui passent puissent laisser aux amoureux de la nature, de petits coins tranquilles pour leurs ébats.


     

     

     


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    " Parce qu'il n'y a pas que les hommes qui en parlent...

      les femmes aussi en font un sujet de prédilection,

      et elles n'ont pas leur langue dans leurs poche "

    Elles en sont fière !!

     


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  • C’est un véritable gourmand.

    Elle est en petite nuisette, il s’approche d’elle pour un dernier baiser avant le coucher, mais en la serrant, …

     

    Il sait comment s’y prendre pour lui faire monter la pression.
    Il la caresse de haut en bas en s’attardant sur sa paire de seins dont les tétons ne tardent à pointer. Il lui écarte doucement les cuisses tout en les massant, ce n’est pas sur son sexe qu’il se rue. Il attend…comme une bouilloire à pression… que l’envie la fasse exploser. De toutes ces tripatouilles, elle sent, sortir de sa fente lisse et nue, son liquide, elle s’humidifie. Elle « mouille ».
    Elle n’attend plus qu’une chose c’est qu’il lui tripotte le clitoris pour que son ventre se  torde de plaisir, « ce plaisir », qui parfois si fort, fait ressortir en elle les vibrations jusque dans le fond de sa gorge.
    La température des corps grimpe.

    Goulument, il se décide, il n’en peut plus, il dirige sa bouche vers ce lieu et là, il n’arrête plus de la lécher, encore et encore. Il lui fait prendre son pied si fort qu’elle en couine. Et, c’est dans son oreiller qu’elle étouffe ces cris pour qu’on ne l’entende au loin.
    La sachant très pudique, il lui dirige lui-même sa main sur son sexe, qui s’échauffe. Il l’entraine avec la sienne dans une valse de mouvement de va et vient. La sentant dans l’action, il lui laisse seule son pénis et repart de ses doigts sur son clitoris toujours remplis de désir.

    Elle mouille, …mouille si fort, que son jus coule à n’en plus finir, elle n’arrive plus à se retenir, ni a retenir ces cris. Sur ce, elle lui prend l’autre main, la dirige devant sa bouche pour les étouffer.

    Dans cette révolution des sexes, il explose tout en continuant à la masturber.

     

    Qui est le plus gourmand ?
    Elle ?... ou…Lui ?


     

     


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    En cette période estivale,

    En cette période de port du bikini

    pas un poil ne doit dépasser !!

    Alors "elle" , ne se dépoile pas à moitié...

    Elle se rase complètement.


    Elle n'a pas de complexes, disons qu'elle n'en a plus .

    Avant, il lui était difficile de se laisser aller sur une plage.

    Maintenant, lorsqu'elle s'étend, 

    plus besoin de paravent, plus besoin de maillot, un simple slip lui suffit.

    Et si ... on se permet de la regarder, elle se sent fière, c'est que son corps plait encore .  

    A quoi sert de se compliqué la vie, elle est parfois si simple,

    de plus... aucun encombrement dans son sac.

     

     

     


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